Reviews of Arianna a Naxos by Haydn at the Deauville Easter Festival


« En dernière pièce se découvre la belle Eléonore Pancrazi pour une cantate beaucoup moins célèbre que l’opéra tiré du même sujet 123 ans plus tard par Richard Strauss. (…) Ouverte par une dizaine de cordes, l’œuvre voit arriver par la droite la mezzo-soprano française, souple pour porter le texte italien et toujours agile pour développer les médiums et aigus de sa longue partie apprise par cœur. »

https://www.resmusica.com/2023/05/04/27e-festival-de-paques-musique-a-deauville/


« Eléonore Pancrazi, jeune mezzo‑soprano corse débarque sur scène comme sur l’île de Naxos alors que l’orchestre a déjà débuté. Dans une impressionnante robe noire, elle y met beaucoup de cœur et de théâtralité. Dotée d’une belle projection et de magnifiques pianissimos, à l’aise sur l’ensemble de la tessiture, elle passe de la colère au désespoir (« Ah, che morir vorrei ») de façon très prenante. Une belle découverte à Deauville. »

https://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=15622


« La richesse du timbre et la forte personnalité de la mezzo Eléonore Pancrazi viendront enfin illuminer la cantate Ariane à Naxos de l’auteur de La Création. Une conclusion radieuse pour un week-end riche en surprises. »

https://www.diapasonmag.fr/critiques/a-deauville-un-festival-de-surprises-36772.html#item-3-36775#item=3

« Eléonore Pancrazi, un charisme rayonnant

La suite du programme nous réserve Ariane à Naxos, cantate pour voix et orchestre, de Haydn, avec la mezzo-soprano Eléonore Pancrazi dans une incarnation sensible et naturelle. Du premier air Dove sei, mio bel tesoro ?, creuset du faux espoir qu’Ariane place dans le retour de Thésée, à l’aria Ah, che morir vorrei au cours de laquelle la chanteuse affiche une déchirante colère, la mezzo-soprano ne surjoue jamais les sentiments mais touche simplement le public grâce à son charisme rayonnant. »

https://classicagenda.fr/festival-de-paques-de-deauville-les-talents-au-rendez-vous/?fbclid=PAAaZxJK-_9FG3qFNv9YisHcJwKJvcMHgryLEQG0z5dElmELtCSsHAbr465C8

Ultime œuvre du concert, la cantate Arianna a Naxos de Haydn marque sans conteste le sommet de la soirée. Par l’inspiration et l’écriture de cette page concentrée et bouleversante. Par l’interprétation aussi qu’en donne Eléonore Pancrazi (photo). La mezzo-soprano vit autant qu’elle les chante les sentiments qui anime la jeune femme abandonnée par Thésée : incrédulité, douleur, dégoût, colère et même furie. Les émotions qui vont crescendo sont traduites avec une humanité bien réelle par une artiste dont la palette vocale – les graves en particulier – nous impressionne et nous touche.https://www.concertclassic.com/article/mozart-et-haydn-par-le-concert-de-la-loge-et-eleonore-pancrazi-au-festival-de-paques-de?fbclid=IwAR256IOhLrmY9ncFsyDb97wX3maqWANee_w3kkLvjFXcVoei1hytCxLueZI

Eléonore Pancrazi