Reviews L'Heure Espagnole/Gianni Schicchi - Opera de Nancy
"Eléonore Pancrazi impressionne par la parfaite adéquation de sa voix avec un rôle hybride souvent confié à des mezzos, mais dont la créatrice, Geneviève Vix, fut aussi la première Salomé parisienne de Strauss quelques années après. Grâce à une articulation parfaite, on ne perd pas un mot de son texte, ce qui est ici essentiel."
http://www.forumopera.com/lheure-espagnole-gianni-schicchi-nancy-lhorloge-parlante
"Au chapitre Ravel, Eléonore Pancrazi, mezzo corse, au jeu délié, à la voix fruitée et à l’impeccable diction est une Concepción blonde platinée virevoltant entre amants et mari. "
http://www.webtheatre.fr/L-Heure-Espagnole-de-Maurice-Ravel
"La première partie met en scène une ménagère, Concepcion, incarnée par la mezzo-soprano Eléonore Pancrazi, bigoudis dans les cheveux et aspirateur à la main, qui profite de l’absence de son mari pour trouver du réconfort dans les bras d’un amant, quel qu’il soit.
La jeune femme bénéficie de la voix claire et flûtée de son interprète. Sa bonne gestion de son souffle lui permet de tenir ses notes avec un joli vibrato tout en parcourant la scène au pas de course. Séduisante, elle attire auprès d’elle trois amants, ainsi qu’un papillon, invité surprise, qui lui aura tourné autour durant toute la représentation. Son interprétation de La pitoyable aventure, l’un des principaux airs de l’ouvrage, est pleine d’autorité, les aigus puissants étant projetés avec une apparente facilité. La mise en scène, ne montrant que les jambes des interprètes lorsqu’ils sont dans la chambre de la jeune femme à l’étage, permet un jeu muet tout à fait réussi et drôle dont elle est l'héroïne."
"L’ouvrage de Ravel aura sans doute davantage permis à quelques individualités de se mettre en avant, à commencer par la pétillante Concepción d’Éléonore Pancrazi, également distribuée pour le petit rôle de La Ciesca dans Puccini."
http://www.resmusica.com/2016/10/03/lheure-espagnole-et-gianni-schicchi-donnes-en-diptyque-a-nancy/
"Mention spéciale, tout de même, à Eléonore Pancrazipour sa très mutine Concepcion (au look de Marilyn)"
"Eléonore Pancrazi distille l’impatience séductrice de Concepción, dans laquelle elle se révèle irrésistible, avant d’endosser le manteau de La Ciesca."
http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=11822
"En Concepcion comme en Ciesca, Eléonore Pancrazi nous séduit par la chaleur de son timbre, la musicalité de son phrasé et une qualité de diction qui s'améliore au fil des ans. L'instrument peut encore gagner en puissance, mais nous ne sommes pas près d'oublier dans Gianni Schicchi son délicieux trio avec la nella de Jennifer Michel et la Zita de Yaël Raanan Vandor. Trois voix idéalement assorties , qui se marient sans aucun décalage, pour faire de ce passage, pas vraiment le plus connu du dernier volet d'Il Trittico, un véritable moment de grâce . "
Opera Magazine